A BEZIERS, QUI FAIT QUOI ET COMMENT ?
(… ou la matérialisation du vieil aphorisme « comme on fait son lit, on se couche »
Il semblerait, en effet, que l’on ait beaucoup ergoté dans le passé sur le prétendu génie et les palpables richesses de notre antique Cité, où a prédominé, sans conteste, au cours des siècles dans notre Opinion, une propension certaine à « la religion de la combine et du pétassage ».
Ce qui ne cesse, aujourd’hui encore, de porter préjudice aux critères de crédibilité de son image historique et de fiabilité d’un certain esprit d’opportunisme et de lucre forcenés développé et entretenu par les générations successives de ces « décideurs » du conservatisme biterrois.
À tous les niveaux de la vie industrielle et commerciale, intellectuelle et culturelle, politique et philosophique, sportive et pédagogique ce paradoxe mortel phagocyte à la longue velléités et capacités humaines, parce qu’il incite un peu trop à confier aveuglément à certains « privilégiés » le soin de mêler et démêler le cours de toute initiative, entreprise ou activité. Si bien que les bonnes volontés et, même, les talents sont quasi obligés de composer avec les pressions d’opportunisme, d’arrivisme et de clientélisme ambiants et au point qu’ils doivent, trop souvent, s’expatrier pour les réaliser sans pour autant ne pas être déconsidérés, dès leur retour sur la terre natale.
Même la dimension et la réalisation des projets collectifs sont soumises aux critères de satisfaction personnelle d’intérêts, souvent contradictoires voire opposés, des uns et des autres. Autrement dit, si la poursuite du Bien public ne peut plus être source de motivation et d’émulation citoyennes, il ne peut plus exister d’élément catalyseur d’un développement harmonieux et durable de
L’un des exemples les plus significatifs à cet égard nous parait être dans
CALVERO
NB « VITRAUX INTIMES
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